Ici, la seule chose qui doit vous guider, c'est votre esprit critique et la manière dont vous devez comprendre et vous servir de l'information. Voilà pourquoi l'aide et l'utilité de BusinessBourse, organe à 100% libre et indépendant. En savoir plus...
Un jeune américain s’est enfui pour éviter de rembourser son prêt étudiant: « Je devais fuir de cet enfer financier ! »

Un jeune américain s’est enfui de son propre pays en 2011 afin d’éviter de rembourser des prêts étudiants auxquels il avait souscrit pour finaliser son parcours universitaire. Ce n’est pas la première fois que ce genre d’événement se produit et ce ne sera très certainement pas la dernière.

Ces histoires d’étudiants qui croulent sous les dettes ne sont pas nouvelles, cependant, l’idée même d’échapper à l’obligation qu’ils ont de rembourser l’argent emprunté est un symptôme d’une gigantesque irresponsabilité, qui tend à gagner du terrain chaque jour dans toute notre culture. Selon le « New York Post », un homme originaire de Pennsylvanie s’est acheté un aller simple pour la chine afin de laisser ses infortunes financières derrière lui, alors qu’il avait essayé de trouver un emploi pendant quatre ans aux Etats-Unis, sans que cela n’aboutisse malheureusement pour lui.

Bien sûr, personne ne lui a mis une arme sur la tête, en l’obligeant à contracter des prêts.

« The Hill » a récemment publié que les « retours en arrière législatifs » de Trump ne font que multiplier les chances de rentrer en récession. L’administration Trump n’a fait qu’éliminer certaines mesures dans le but d’empêcher les consommateurs américains de se faire piéger par une dette insoutenable, mais parallèlement, ils ont supprimé la capacité de ces emprunteurs à obtenir une ordonnance comme mesure de redressement judiciaire.

Ce n’est pas simplement parce que Trump modifie quelques réglementations, que les gens vont quitter le pays et fuir cette situation de surendettement, mais si tel était le cas, ils devront s’adapter aux conséquences. La responsabilité personnelle aura un rôle fondamental pour s’assurer que nous vivons bien dans une société libre, cependant, on dirait vraiment que la plupart des américains préféreraient décider pour eux-mêmes et ensuite rendre responsables les autres dès qu’ils font de mauvais choix.

« J’ai dû m’évader de cet emprisonnement financier. J’avais l’impression de n’avoir aucun autre choix » s’est expliqué Chad Albright au « York Daily Report ». Voilà ce que sont devenus les Etats-Unis pour moi, une véritable prison ».

Mais c’est Albright qui s’est créé sa propre prison.

« Je voulais obtenir ce diplôme et j’étais prêt à travailler dur pour l’avoir », voilà ce qu’a expliqué Albright au journaliste. « Tout le monde me disait régulièrement, combien cela en vaudrait la peine ». Mais apparemment, personne ne vous explique que si vous empruntez de l’argent à quelu’un d’autre et que vous signez un contrat qui stipule que vous devez le rembourser, un jour ou l’autre, alors ils viendront vous reprendre cet argent. Ce n’est pas vraiment compliqué à comprendre mais apparemment, cela mérite d’être rappelé.

Après avoir obtenu un diplôme en relation publique en 2007, au tout début de la grande récession, à son grand désarroi, Albright s’est rendu compte que les offres d’emplois étaient plutôt restreintes.

Lors des entretiens, il entendait à chaque fois le même refrain de la part des futurs employeurs : « Désolé, mais il y a une personne qui a eu ce même emploi pendant 10 ans et qui vient juste de le perdre, je recherche quelqu’un à ce poste mais qui a 10 ans d’expérience ».

Voilà ce qui lui est resté de ces entretiens: « Leur dernière phrase était: ne vous en faites pas, un jour ce sera votre tour ».

Albright découragé retourna vivre chez ses parents où il tomba dans une lourde dépression.

« J’étais censé rembourser 400$ par mois d’emprunt mais je n’avais pas d’argent, aucun revenu durable. L’université m’a ruiné » a-t-il expliqué.

« Deux années non-stop d’entretiens et rien au final. J’étais au bout du rouleau »D’après le New York Post.

S’il lui était possible de revenir en arrière, il a expliqué qu’il n’irait pas à l’université et qu’il suivrait des cours à distance pour se spécialiser en programmation informatique. « Bon mais maintenant c’est comme ça, voilà ma vie ! » a expliqué Albright, « L’université m’a complètement ruiné, et au plus profond de moi, j’y pense à chaque instant ».

Albright habite en Ukraine maintenant en tant que résident permanent et travaille dans la vente et n’est plus harcelé par les créanciers sur le prêt qu’il doit depuis 8 ans. « Je suis heureux de m’être éloigné de mon problème d’endettement mais je me sens seul la plupart du temps » il a ajouté. « Je n’ai vraiment pas d’autres options pour l’instant. » a expliqué l’homme de 39 ans.

Au T1 2019, la dette des ménages US a atteint un nouveau sommet historique à 13670 milliards $ USA: Nouveaux sommets historiques au 1er trimestre 2019 pour ces 3 bulles de crédit qui menacent d’exploser à tout moment !!

C’est malheureux le fait que notre société fasse autant de tort à ceux qui choisissent de se lancer dans de longues études universitaires. L’entrée du gouvernement dans la gestion financière des prêts étudiants n’a fait qu’augmenter les prix pour suivre des cours en faculté. C’est également parfaitement faux d’entendre constamment, et ce sentiment est martelé du matin au soir : « Tu ne t’en sortiras pas sans diplôme universitaire ».

Anthony O’Neal, l’auteur de « The graduate Survival guide » propose de formidables conseils dans son livre qui s’adresse aux étudiants universitaires. C’est le meilleur manuel pour les étudiants, qui identifie clairement les cinq erreurs fondamentales à éviter absolument à l’université. Ces erreurs peuvent mener à un calvaire financier et à des souffrances qui dureront des années. Comme Anthony le dit à ses étudiants, « La qualité de votre vie future sera déterminée en fonction des choix que vous faites et des décisions que vous prenez dès aujourd’hui ».

Source: zerohedge

A l’attention des lecteurs du site BusinessBourse

Nous sommes à la veille d’un tournant majeur dans l’économie mondiale. Le moment est venu d’acheter de l’Or avant qu’il ne soit trop tard. Pour les très rares personnes qui ont des actifs à protéger, le moment est venu de sortir des bulles d’actifs(marché boursier, obligataire, immobilier, etc…), comme je le recommande depuis longtemps. Il est également temps de détenir de l’or et de l’argent physique comme assurance pour son patrimoine. Les métaux précieux atteindront des niveaux sans précédents, voire non envisageables aujourd’hui avec l’hyperinflation.

Pour ceux qui pensent avoir peu de moyens, rappelez-vous que vous pourriez acheter 1 gramme d’or par mois, ou plus, ce qui coûte aujourd’hui 37,68 €. Au fil du temps, cela vous permettra d’accumuler un important pécule. Pour des prix imbattables sur l’achat d’Or et d’Argent, c’est ici et sur devis. Livrable dans toute la France.

               
Le retour au Standard Or d’Antal Fekete                            Dernière intervention de P.Herlin sur l’or
                      
         Nicolas Perrin: Investir sur le marché de l’or                                           Histoire de l’argent
               

[AMAZONPRODUCTS asin= »2914569661,2865532321,2914569823,2297004788,2915401233″ partner_id= »busbb-21″ locale= »fr »]

27 Commentaires pour l'article Un jeune américain s’est enfui pour éviter de rembourser son prêt étudiant: « Je devais fuir de cet enfer financier ! »

  1. M étonnerait pas que tous les gens qui l on incité à faire ces études étaient liés de près où de loin à l établissement qu il l à enfumé avec son pseudo diplôme.

  2. Chose de base avant de choisir une formation universitaire ou non: toujours regarder le taut d emploi et le salaire médian à 10 ans de ceux qu il l on fait (en particulier celui de l établissment dans lequel on veut rentrer car il ne suffit pas de chosir là bonne filière comme le montre l exemple de ce pauvre gas).

    Ça permet rapidement de faire la distinction entre les formations qui envoies au MacDo de celle qui donne accès à un job nécessitant un costard.

    • Le problème c’est que tous les secteurs sont touchés ou seront touchés plus tard. J’ai connu des gens qui avaient trop de diplomes et qui se sont faits rejetés pour ça. Incroyable !

      • Le secteur du management appliqués à l informatique n est toujours pas touché depuis 30 ans.

        Lorsqu on ment en disant que l on a des diplômes que l on a jamais passés, on se fait attraper parce l on n a pas le papier.

        Mais lorsqu on ment dans le sens inverse, comment vérifier que le gas dit la vérité?

  3. Je suis surpris qu’il semblerait qu’aux USA, les banquiers ne demandent pas à des tiers ( parents ou autres) de se porter garant-caution pour les emprunts contractés????

    • Non aux États Unis comme en grande Bretagne, l état à mis en place un systéme qui permet d emprunter de manière quasi illimité sans garant en contrepartie de la forte baisse du financement publique des études supérieur.
      Il s agit vraiment d une situation identique au prêts subprime, ou des gens qui ne pourront pas rembourser peuvent emprunter même si personne ne remboursera derrière.

      Système qui a débuté sous Ronald Reagan aux États Unis ou Jimmy Carter et qui a été grandement amplifié par Bill Clinton (vive les baisses d impôts).

      Au passage ça permet d accéder à des instituts entièrement privés qui sous couvert de former à des métier d avenir à fort taux d emploi n enseigne rien et envoi leurs clients travailler dans les petits boulot!
      Pour le reste la gestion des frais d inscriptions dans les universités en lien avec l état fédéral à complétement été libéralisé (sauf décision contraire des États à leur niveau): l état n intervient plus dans frais d inscription (tuition) et les tarifs sont gérés par les universités comme dans le privé. Et au vu de la demande et de la capacité d emprunt, elles ne font qu augmenter!

      Petit à petit (pour les cas et les établissement où sa vaut encore le coût), les études se transforme en investissement financier du point de vue de la rentabilité du diplôme. Comme on investit en bourse et que l on gagne 9%.

      • Sebastian Salmon / 15 juin 2019 à 23 h 59 min / Répondre

        Comme on dit, les baisses sont faisables.

        • Je ne sais pas pour vous mais je préfère le prix bas voir la gratuité des études associé à un contrôle des comme le fait hisotirquement la république via les mines où polytechnique ou l ENA plutôt que l endettement à hauteur de plusieurs millions de dollars comme moyen d accès aux études pour tous.

          Bon puis de toute façon les dettes étudiantes contracté après 2017 sont effacés après 25 ans sans interruption de paiement ce qui signifie que dans les 2 cas le contribuable paie via les dotation aux établissements publique dans le premier cas et la Federal Student aid (en revanche si on se bar ça risque de marcher différement) dans le second.
          La différence c est que des actionnaires prennes leur part en + au passage.

  4. Tant qu´il reste en Ukraine, il ne risque rien, de ses problèmes américains du moins, on ne va pas lui coller un mandat INTERPOL pour quelques dizaines ou centaines de milliers de dollars de dettes. Mais comme à un moment il finira par vouloir retourner en catimini aux USA, il est déja sur les listes à arrêter par les services d´immigration, il ne faut pas rêver… Il finira en prison en plus de devoir rembouser…
    Tous ces jeunes sont malheureusement foutus. Mais bon, d´un autre côté : un diplôme en relation publique…
    J´ai commenté un article il y a une paire de jours, ou un intervenant disait qu´il fallait faire des études d´architecte d´entreprise, juste allucinant… Je ne savais même pas que ça existait. Tous ces emplois, disons semi fictifs, qui fonctionnaient quand les grandes entreprises tournaient à plein régime et pouvaient se permettre de payer des services ou du personnel plus ou moins utile. Ces mêmes entreprises les virent aujourd´hui par paquets de cent ou mille…
    Alors imaginez l´intérêt de ces ¨diplômes¨ durant ¨l´ère Mad Max¨ ou ¨Kosovo¨, ou ¨Europe ?¨qui arrive à grands pas (humour ?)…
    https://crisispreparado.yolasite.com/

    • Durant l’ère Mad Max, ceux qui auront des qualifications en pyrotechnie seront les nouveaux Nabab de l’ère!

    • Je ne suis absolument pas juriste, donc je n´avancerais rien, mais je peux vous dire que le droit civil et pénal américains sont très différents de la France… Le droit commercial que je connais un peu, également d´ailleurs.

    • Mon oncle est architecte d entreprise et ça marché tout de suite pour lui (du moins ça continue de marcher depuis bientôt 20 ans).

      Chose de base avant de choisir une formation universitaire ou non: toujours regarder le taut d emploi et le salaire médian à 10 ans de ceux qu il l on fait (en particulier celui de l établissment dans lequel on veut rentrer car il ne suffit pas de chosir là bonne filière comme le montre l exemple de ce pauvre gas).

      Ça permet rapidement de faire la distinction entre les formations qui envoies au MacDo de celle qui donne accès à un job nécessitant un costard.

    • Les prêts étudiant contractés au États Unis avant 2016 ne peuvent pas être soumis à la loi sur les faillites personnels de sorte qu ils doivent être remboursé quoi qu il arrive.

      Après lorsque vous échappez à mandat d arrêt où à une convocation au tribunal je craint effectivement que vous vous prenez le genre de peine que Julian Assenge viens d écoppé en Grande Bretagne.

    • Au passage avec les prisons privées un bon client, c est quelqu un qui retourne au trou plutôt que de se réinsérer.

  5. lol incroyable cette histoire ….mais je me demande s’il ne risque vraiment rien tant qu’il reste en Ukraine ?

    • Tu as raison Makeda.

      Quand il s’agit de pognon, de sureté nationale, d’affaires criminelles, les Américains iront te chercher le plus au sud de la Patagonie s’il le faut… Car ils ont les moyens de savoir où tu as atterri précisément (Nous laissons automatiquement des traces derrière nous) !
      Et plutôt tôt que tard, tu retombes dans leurs filets !

      Cette question de Poujade51 est intéressante : « -Je suis surpris qu’il semblerait qu’aux USA, les banquiers ne demandent pas à des tiers ( parents ou autres) de se porter garant-caution pour les emprunts contractés???? ».
      00 888, une réponse à cette interrogation ?

      Saludos

      • Pardon ❓

      • Il y a pas d aval sur ce genre de dettes là bas.

        Ça marche comme les crédits subprime. Si il y a une série de défaut massif sur ce genre de crédit, la finance mondial sautera exactement pour les même raison qu en 2007.

      • Ce qui me semble le plus plausible c est que dès que l étranger est impliqué dans ce genre de cas mineur, il faut 6 mois à 1 an d échanges diplomatiques pour voir débarquer les hommes en bleu chez soit.

        Aux États Unis comme en grande Bretagne, l état à mis en place un systéme qui permet d emprunter de manière quasi illimité sans garant en contrepartie de la forte baisse du financement publique des études supérieur (une évolution de la vision selon laquelle la condition ne doit pas déterminé l accès au études mais qui cette fois ci couvre le coût de la vie).
        C est aussi une raison pour laquelle le phénomène à beaucoup plus d empleur qu ailleurs (par rapport à la France où l équivalent est plaffoné à 15000€).

        Il s agit vraiment d une situation identique au prêts subprime, ou des gens qui ne pourront pas rembourser peuvent emprunter même si personne ne remboursera derrière.
        À une différence: les somme emprunté avant récement ne sont pas soumises au faillites personnels, il n est pas possible de faire défaut dessus.

        Système qui a débuté sous Ronald Reagan aux États Unis ou Jimmy Carter et qui a été grandement amplifié par Bill Clinton (vive les baisses d impôts).

        Au passage ça permet d accéder à des instituts entièrement privés qui sous couvert de former à des métier d avenir à fort taux d emploi n enseigne rien et envoi leurs clients travailler dans les petits boulot!
        Pour le reste la gestion des frais d inscriptions dans les universités en lien avec l état fédéral à complétement été libéralisé (sauf décision contraire des états à leur niveau): l état n intervient plus dans frais d inscription (tuition) et les tarifs sont gérés par les universités comme dans le privé. Et au vu de la demande et de la capacité d emprunt, elles ne font qu augmenter!
        C est d ailleurs suggéré à la fin de de l article.

        Petit à petit (pour les cas et les établissement où sa vaut encore le coût), les études se transforme en investissement financier du point de vue de la rentabilité du diplôme. Comme on investit en bourse et que l on gagne 9%.

        Il est donc possible d avoir plus d un million à rembourser à la fin de ses études (et là les intérêts annuel sur une somme aussi grosse ça fait mal).

      • https://studentaid.ed.gov/sa/repay-loans/understand/plans/income-driven

        Il me semble néanmoins que les prêts sont à rembourser à des établissement privés.

    • Bah Oui. Il me semble pourtant qu il y a un traité d extradition entre les deux pays sur les non nationaux.

      En plus aux États Unis la traque d un fugitif peut être confié au privée dans certains états si je ne me trompe pas (vestige de l époque des chasseurs de primes).

      Ce qui me semble le plus plausible c est que dès que l étranger est impliqué dans ce genre de cas, il faut 6 mois à 1 an pour voir débarquer les hommes en bleu chez soit.

    • Sebastian Salmon / 16 juin 2019 à 0 h 08 min / Répondre

      Tant qu’il ne retourne pas aux Etats-Unis, il ne risque pas grand chose mais s’il y retourne, ça risque de le lui poser problème je penses.

Répondre à 00 888 Annuler la réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*