Le grand invité de l’économie ce 2 décembre sur RFI et Jeune Afrique est l’économiste Gaël Giraud. Chef économiste de l’Agence Française de Développement, il s’exprime sur la crise financière et les paradis fiscaux…
Gaël Giraud: « Prenons l’exemple du Dow Jones qui est un indice financier majeur pour la planète, il est aujourd’hui 2 fois supérieur au niveau qu’il avait atteint juste avant la crise de 2007. Dans le même temps, on ne peut pas dire du tout que l’économie mondiale ait été multipliée par 2. […] Donc, il y a un découplage entre les indices financiers d’un coté et l’économie réelle de l’autre. Ce découplage sera forcément suivi par un nouveau krach et d’un rattrapage de l’économie financière par l’économie réelle. »
Jim Rogers: « Nous sommes à la veille du pire krach boursier qu’on n’ait jamais connu » Nouvelle crise bancaire ? Gaël Giraud: « Selon le FMI, 40% des banques de la zone euro sont non viables ! »
Source: rfi
oh oui Beverly je crois que 2018 c’est l’heure du chaos voulu par nos élites
C’est dingue ils en parlent tous ça y est ! le mot Krach est bien laché donc ils ne peuvent plus mentir sur la situation catastrophique que l’on vit. Je ne sais pas combien de temps il reste avant la chute finale mais franchement actuellement c’est vitesse grand V je ne vois plus que quelques semaines devant nous maximum j’ai peut être tord mais on sent bien que c’est très très proche.
https://leblogalupus.com/2017/12/05/paradoxe-10-bons-mois-apres-linvestiture-de-donald-trump-lindice-dow-jones-a-gagne-plus-de-23-une-bonne-nouvelle-avec-le-commentaire-du-lupus/comment-page-1/#comment-129954
Le DOW à 36000 Pts ?
Apparemment c’est prévu pour 2018 :
https://www.youtube.com/watch?v=8GoGxFu94aA
Prévu peut être pas, envisagé surement : https://www.youtube.com/watch?v=5btQ3sLISBU
ENFIN UNE BONNE NOUVELLE.QUE TOUT S’Ecroule et vite
Exemple : si on suppose le CAC40 aligné sur l’évolution de l’économie mondiale qui a eu lieu depuis sa création (mondiale, car c’est un indice largement mondialisé), l’indice doit redescendre vers 1500/1700 points. Autre hypothèse peu réaliste, il faudrait patienter deux, trois ou quatre décennies sur les niveaux actuels que l’évolution naturelle de l’économie progresse de manière similaire, sans compter les dividendes.