La société sans cash bientôt une réalité ? Sachez qu’en Suède, les échanges en liquide ne représentent plus que 2% du montant des transactions financières.
A y est ! Bruxelles a sorti le texte pour la suppression du liquide en… 2018 !
Simone Wapler: Société sans cash: les grandes manœuvres débutent
Pétition / Non à la société sans cash ! : http://nonalasocietesanscash.fr/
Source: planetes360.fr – Voir les précédentes interventions de Simone Wapler
Simone Wapler est directrice éditoriale des publications Agora, spécialisées dans les analyses et conseils financiers. Ingénieur de formation, elle a quitté les laboratoires pour les marchés financiers et vécu l’éclatement de la bulle internet. Grâce à son expertise, elle sert aujourd’hui, non pas la cause des multinationales ou des banquiers, mais celle des particuliers.
Elle a publié « Pourquoi la France va faire faillite » (2012), « Comment l’État va faire main basse sur votre argent » (2013), « Pouvez-vous faire confiance à votre banque ? » (2014) et « La fabrique de pauvres » (2015) aux Éditions Ixelles.
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Cette petite dame confond un petit peu tout en oubliant l’industrie mondiale qui se réduit comme peau de chagrin, et le commerce qui disparaît, sauf, et là elle a raison, de dire que de n’avoir que des citoyens consommateurs ne peut pas faire fonctionner la machinerie économique.
Pour autant, elle oublie les frontières en pleine déliquescence, c’est pourquoi les banques sont toutes puissantes, en raison même des disparitions frontalières.
De plus, elle ne se rend absolument pas compte que ce ne sont pas les états qui contrôlent les banques mais bien les banques qui contrôlent les états (Monseigneur Macron, dit le gamin), et çà, ça fait toute la différence.
Revenons à l’industrie: comment ces mêmes banques peuvent-elles poursuivre leur existence si la fabrication de biens et leurs échanges, le commerce, donc, disparaît?
Que la monnaie soit tangible ou électronique, peu importe.
Si elles distribuent de la monnaies à gogo et pour tout le monde, la belle affaire si rien ne peut s’acheter puisque plus rien n’existerait en raison de la disparition des fabriques, C.Q.F.D..
Que nous ayons une puce dans le bras ou dans le cul, ça ne change rien à l’affaire, s’il n’y a plus rien à vendre et à acheter, elles ne serviront à rien.
Mais, allez-vous me dire, et l’agriculture alors, il faudra bien nourrir les gens, ils pourront toujours acheter de la bouffe.
Moui, et alors, comment ferez-vous sans pièces détachées pour réparer le tracteur, la moissonneuse-batteuse, le camion, le bateau…, à la faux, sur le dos des mulets et à marine à voile, tout le monde dans les champs, comme à la belle époque le Mao?
L’histoire montre que l’échec ne peut pas ne pas survenir.
Donc, moi, au vu de la désindustrialisation mondiale en cours, de la baisse du prix du pétrole, de celle des matières premières, je dis que ce que nous concocte les banques avec cette suppression du cash n’est qu’une immense connerie qui ne fera qu’accélérer l’effondrement irrésistible de l’économie internationale.
Quand à la démocratie, je ferais remarquer à cette gente dame que bien que le libéralisme économique bourgeois se soit développé en même temps que la démocratie, cela ne veut absolument pas dire que tous deux soient de même nature.
Tout juste doit-on considérer que la monnaie devrait, tout comme l’armée, faire parti des pouvoirs régaliens d’états légitime de pays aux frontières et aux lois de strict maîtrise dont la souveraineté ne devrait appartenir qu’au seul peuple souverain.
Le reste n’est que du blablabla sans importance!
L’interdiction ne supprime pas les causes de faillite pour les banques, elle les retarde seulement …
La Liberté a un prix, votre banquier est disposé à vous l’acheter.
S’ils interdisent le cash au fur et à mesure de cette récession mondiale, comment feront les lobbies pour pouvoir acheter les commissaires européens, à moins que les pots de vin se fassent autrement.
Actions, terrains, luxe, y’a l’embarras du choix pour les payer, et puis c’est pas comme si les banques signalaient ces gens là à TRACFIN…
Le gouvernement va être maître de nos épargnes !!!
C’est on ne peut plus clair, ils puiseront dans les comptes épargne du peuple ,ils ont fait la loi du bail in préalablement…
Eux si non, on vote qui lorsque c’est partout pareil (le vote blanc n’étant pas invalidant) ? 🙂
« Le revenu universel est impayable » Dommage pour Benoît Hamon qu’il n’ait jamais entendu parler de choses comme le crédit social : Pour financer un revenu universel, il y a plus intelligent que de le faire par l’impôt. 😀 (remarque ici on a bien eu le conseil national du crédit mais pour l’infrastructure)
« les gagnants de l’économie gagneront pour l’éternité, tandis que les perdants seront calmés avec une aumône. » Sur, avec le revenu universel, dès qu’il faut sortir 5000€ par jour en médoc pour se soigner contre son cancer, c’est direction le mouroir sans anti douleurs.
À la limite peut‑être dans le cas du capital universel (on verse une seul foi une somme élevé à tout les citoyens qui atteignent un certain âge en fonction de leur espérance de vie au lieu de le faire pour tout le monde chaque mois)
Asselineau!
Y compris lorsqu’il n’atteint pas le second tour ?
La principe de souveraineté existait avant la démocratie. La souveraineté, c’est d’abord la seul volonté de chaque souverain (c’est à dire des chef d’états en se moment) sans considération des autres composantes de la nation en concordance avec le système originel de Westphalie (en opposition au accords de Genève) (raison pour laquelle le ꜰɴ critique la moindre prise de position politique de la papauté en référence au principe de séparation du pouvoir spirituel).
Lorsqu’il s’agit de négocier des accord supra nationaux, c’est donc les convictions du/des souverain qui prime puisqu’il s’agit de faire de la représentation indirecte. (l’example le plus flagrant est la tentative du ᴛᴛɪᴘ négocié contre la volonté populaire nationale à la fois européenne et américaine alors qu’une instance supranationale représentative démocratique aurait dit non dès le début)
C’est pourquoi plus il y a de relations régie par le souverainisme, plus les volontés populaires national (est parfois global) sont ignoré.
Ceux qui sont contre l’ᴜᴇ oublie que c’est sur le principe des négociations de Westpahlie que tout les parties politiques non extrémistes acceptait de continuer de payer les indemnités exorbitantes de guerre à la France lors de la république de Weimar
Comme le souverainisme s’oppose à la volonté populaire, c’est la raison pour laquelle je ne partage pas cette mode.
BITCOIN
Yep, ou tout ce qui a une valeur matériel en général et qui peut être revendu. Aussi bien maison que tonne d’avoine.
Le bitcoin n’ayant pas de valeur intrinsèque ni légal (ce n’est pas vraiment un bien inélastique), je me méfierais de son cour en cas de situations économiques qui pousse les banques à faire faillite.
Oui mais ce n’est ni un produit et peut-être encore moins un bien inélastique (le bitcoin on peut s’en passer contrairement à l’habitat où l’eau que les gens continueront d’acheter quel que soit le prix sauf dans certain endroit du monde ou en mourir est une option courante)
Bref, tant que un nombre marginal de commerce et de services l’accepte en tant que moyen de paiement, sa seul valeur viens de sa convertibilité qui augmente en fonction de la demande : c’est donc un placement dont la plus grande parti de la valeur sur rien.
Sachent les banques font généralement faillites lorsque la demande s’effondre, ceux qui on fait des placement en bitcoin risque de faire la même tête que ceux qui fait des emprunt indexé sur le France suisse.
Etre pâyé selon notre productivité, tel est le plan que Rockfeller avait révélé à Russo.
Faire disparaitre le cash, c’est faire disparaitre les salaires.
Donc la monnaie électronique n’est qu’un subterfuge, mais dans les faits, on nous paiera selon nos besoins et notre temps de travail ( crédit alimentaire, crédit matériel, crédit service….) tout ça crédité dans notre puce.
– Tu veux avoir assez de crédit alimentaire pour bouffer pendant un mois ?
Il te faudra cumuler 50H de travail par semaine.
– Tu peux pas travailler autant ?
Et bien tu vas perdre du poids.
– Tu veux donner un peu de crédit à tes gosses ?
Tu seras pénalisé de 3h de travail en moins, car si tu partages tes crédits, tes enfants deviennent moins productifs.