Face à ce que certains dénoncent comme les ravages du libre échange et de la globalisation sauvage, quel regard porter sur la mondialisation ? Quels sont les gagnants et les perdants ? Qui s’est appauvri depuis 25 ans ? L’analyse d’Olivier Berruyer, auteur du blog les-crises.fr et membre des Econoclastes. Ecorama du 6 décembre 2016 présenté par David Jacquot, sur Boursorama.
La crise de 2008 a fait augmenter la pauvreté en France
Le FMI presse les Etats-Unis de s’attaquer à la pauvreté et aux inégalités
Source: boursorama – Voir les précédentes intervetions d’Olivier Berruyer
En socialie, évident!
Reviens les sauver !
Winston Churchill était particulièrement inspiré sur le socialisme. « Christophe Colomb fut le premier socialiste : il ne savait pas où il allait, il ignorait où il se trouvait… et il faisait tout ça aux frais du contribuable ».
« Le vice inhérent au capitalisme consiste en une répartition inégale des richesses. La vertu inhérente au socialisme consiste en une égale répartition de la misère »…
Si je me réfère aux commentaires ,
sans aucune hésitation,
OUI.
Avec le niveau de la relève,
c’est pas gagné…
Les petits Français de CM1 ont rendu de bien mauvaises copies de maths. Ils terminent en queue d’un classement européen.
Dans cette analyse ils semblent oublier que nous sommes totalement endetté.
La prétendue stagnation du niveau de vie n’a, en fait, été obtenu (ou « sauvé ») qu’au prix d’une dette gigantesque.
Oui , quand elle nous est imposé a l’ obusier, de coup d’ état et de triques.
La mondialisation est un énorme complot qui vise à s’emparer, en mettant en place des monnaies insoutenables comme l’Euro, ou en prenant des sanctions contre certains pays, en y plaçant des têtes corrompue ou en reversant des régimes par des révoltes populaires, des entreprises et administrations nationales par une toute petit clique de banquiers criminels et irresponsables.
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Tout est notoirement artificiel et à volontairement mis en place afin de piller littéralement les peuples et créer des super monstres industriels et financiers.
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Et si nous les laissons faire, alors nous deviendront leurs esclaves à jamais…
c’est évident : délocalisation, mise en concurrence pour celui qui produira ou fournira un service a moindre coût.