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Philippe Béchade: Séance du Mardi 11 Octobre 2016: « Brésil: Fini la samba, 20 ans d’austérité »

Philippe Béchade, rédacteur en chef du site La bourse au quotidien, Président des Econoclastes, présente l’actualité boursière du Mardi 11 Octobre 2016 dans la séance vidéo du jour intitulée: « Brésil: Fini la samba, 20 ans d’austérité »

Philippe Béchade a parfaitement raison et ce depuis des années. La situation économique aux Etats-Unis n’arrête pas de se détériorer. Alors remonter les taux dans ces conditions et avec un monde endetté comme il ne l’a jamais été de toute l’histoire serait suicidaire

Source: labourseauquotidienVoir les précédentes interventions de Philippe Béchade

               
Le retour au Standard Or d’Antal Fekete                            Dernière intervention de P.Herlin sur l’or
                      

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4 Commentaires pour l'article Philippe Béchade: Séance du Mardi 11 Octobre 2016: « Brésil: Fini la samba, 20 ans d’austérité »

  1. Remonter les taux = resserrer l’étau
    Tout cela devient aussi ridicule que les histoire de Toto

  2. Lumpenprolétariat / 11 octobre 2016 à 16 h 58 min / Répondre

    Que ce soit au niveau économico-financier où géopolitique au moyen-orient, j’ai le sentiment que les « choses » ont atteint un tel degré de complexité et d’intérêt vitaux divergents que je ne vois pas comment à force de secouer la bouteille de champagne,la pression ne va pas faire péter le bouchon, comme disait l’autre…
    L’histoire contemporaine humaine a été jalonnée d’instant solennel et grave. Si on considère la crise des missiles de Cuba en 1962, il y avait deux camps bien distincts et une autorité politique à leur tête plus forte.
    Mais aujourd’hui, la nature complexe, la multitude des intérêts divergents et l’affaiblissement de l’autorité politique aux États-Unis par l’état profond me font sincèrement craindre le pire…

    • Lumpenprolétariat / 11 octobre 2016 à 17 h 02 min / Répondre

      Et je rajouterais, que, apparemment, personne ne semble vouloir lâcher le morceau…

    • Pas besoin de craindre le pire, lumpenprolétariat, car le pire est déjà écrit : le parchemin de l’histoire future est juste en train d’être déplé sous nos yeux et comme disent les enfants : « ça sert à rien de faire des plans sur la comète parceque dans la vie, ça ne se passe jamais comme on l’avait prévu »

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