L’Energy Information Administration (EIA) américaine a abaissé mardi sa prévision de croissance de la demande mondiale de pétrole en 2017, de 20.000 barils par jour à 1,54 million de bpj.
Dans son rapport mensuel, l’agence a aussi réduit sa prévision de croissance de la demande mondiale en 2018 de 10.000 bpj à 1,62 million de bpj.
Nous assistons à des choses qui n’arrivent que lorsqu’une nouvelle récession commence
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Source: investir.lesechos.fr
Ça fait peut-être plus d’un an et demi que j’en parle, voire deux, il y a une désindustrialisation généralisée.
Certes, celle-ci a subit un frein depuis un an environ dû à ce que, par un certain nombre d’annonces, des occidentaux ont dépensé leurs économies, qui pour s’offrir un voyage, qui pour rafraichir le toit de sa maison ou de son appartement, qui pour s’acheter une voiture neuve…
Mais sinon, entre les personnes âgées pour qui tout cela leur échappe, ces économies dépensées, les naïfs qui n’avaient rien compris et ceux qui n’avaient rien entendu, de l’argent dort encore dans les livres de compte des banques, mais beaucoup moins qu’auparavant.
Mais peu de cet argent a profité à la France, en tout cas peu des matériaux utilisés et des engins acquis, la Chine, l’Allemagne et la Pologne, entre-autre, furent fort content d’avoir fait travaillé leurs ouvriers.
Mais maintenant que cette rivière s’est tarie, nos grands argentiers si intelligents n’auront plus qu’un seul choix et un seul, l’hélicoptère monétaire, et ça, mon bon monsieur et ma brave dame, ça signera le début de la fin.
Et ensuite de la faim, mais ça, c’est une autre histoire.
C’était une image, hè, pauvre pomme, je voulais dire que le système économique globalisé allait cesser son fonctionnement pour un temps indéterminé.
Mais bon, j’ai fait des raccourcis.
Ou alors, expliquez-moi donc pourquoi il y a une baisse de demande de pétrole?
Sinon, si cela fait dix ans que j’en parle c’est que, tout simplement, la date pour qu’un événement de type systémique de cet ordre est impossible à prévoir.
Il est possible d’en délimiter les mécanismes et les effets, mais dire quand cela arrivera c’est strictement impossible.
C’est comme l’architecte qui, aux U.S.A., va vérifier l’état d’un pont et dire qu’il ne faut plus circuler dessus.
En revanche, il ne pourra pas dire à partir de combien de voiture celui-ci s’effondrera.
Mais bon, si vous pensez que le système va perdurer, c’est de votre droit le plus stricte.
Quand à être givré, ma foi, ça me laisse de glace, même si parfois ça peut jeter un froid!
Oups, deux ans et non pas dix ans, mes doigts ont joué du lapsus …