Martin Prescott: Pétrole: On a toujours la capacité de revenir à 30 dollars le baril dans les prochains mois, voire à 22 dollars le baril.
Martin Prescott: Pétrole: On a toujours la capacité de revenir à 30 dollars le baril dans les prochains mois, voire à 22 dollars le baril.
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@ theuric
Où comment pondre une suite interminable de mots à priori choisis mais tout ça pour ne rien dire…
Comme disait Coluche « Quand on sait pas, on dit pas… » plutôt que « C’est pas parce qu’on a rien à dire qu’il faut fermer sagueule ! »
Pitoyable prestation en vérité.
Bon ben, c’est parti, la magnifique concurrence entre les divers banques et fonds spéculatifs va bientôt commencer, chacun allant jouer à la baisse pour tenter de prendre le maximum de richesses au voisin.
Le jeu va consister de ruiner tous les autres pour rester seul maître de l’économie-monde.
Comment vont-ils s’y prendre?
Comment le saurais-je, n’ayant aucun outil nécessaire pour en saisir le formalisme monétaire?
Par intuition, je le sens comme le cerf en rut sent le cul d’une biche en chaleur.
En fait, c’est plus trivial que cela: ces entreprises sont dans deux positions, celle de la survie et celle de la domination, puisqu’il y a une désindustrialisation généralisée, il n’est plus possible de ponctionner les richesses des pays et des peuples, ou du moins de moins en moins, donc, ne reste plus que celles de leurs collègues, soit ce qui est appelé le marché.
Comment faire puisque soit ce dernier baisse, soit il stagne grâce aux Q.E. officiels et officieux, ce qui fait perdre la valeur des monnaies.
Dès lors, la solution est de jouer les divers marchés à la baisse, mais pour cela il fallait laisser passer des informations catastrophiques, ce qui n’est pas compliqué puisque la situation l’est, catastrophique.
Donc, celui qui partira en premier ne peut qu’avoir le sentiment que ce sera celui qui gagnera cette partie de qui-perd-gagne.
D’où cette avalanche de mauvaises nouvelles.
Seul hic et non des moindre, c’est que ces divers marchés se retrouvent à descendre bien plus vite et bien plus bas que ce qui était escompté, au vu de la situation plus que déplorable de l’économie réelle.
La preuve en est est que cette situation réelle n’est abordée que du bout des lèvres, quand elle l’est, et il faut le lire, plus même, le décrypter entre les lignes pour le comprendre.
Dès lors, cet aveuglement conceptuel ne pourra que nous conduire dans cette faillite universelle dont je vous mets tous en garde, puisque cela conduira les-dits divers marchés au zéro pointé.
Il y aura, dès que cela débutera, non pas des Q.E., ni même des hélicoptères monétaires, mais d’immenses avalanches de monnaies, les ordinateurs des banques centrales et leurs planches à billets surchaufferont, d’ailleurs c’est ce qu’il se dit, non?
Ce qui fait que toutes les liquidités récupérées par ces entreprises spéculatives, dont les banques, auront une tonne de monnaie qui ne vaudront plus pipette puisque produites au-delà du raisonnable, c’est le moindre qu’il pourra s’en dire.
En sont-elles conscientes?
Sûrement que oui pour certaines d’entre-elles, mais elles ne pourront pas faire autrement que de suivre le mouvement au risque, sinon, de faire faillite avant les autres et donc de définitivement disparaître.
De plus, de se mettre sous le couvert de l’état de leur pays leur fera courir le risque de se retrouver sous les fourches caudines de sa loi, du-moins pour leurs dirigeants, tout simplement parce que la peur qu’elles inspirent aura sautée et que le personnel politique, pour survivre, ne pourra pas faire autrement que de se retourner contre-elles, entre le peuple en colère et un pouvoir agonisant, ici monétaire des marchés, il n’y aura que les sots, élus ou non, pour ne pas comprendre qui sera à ce moment là le plus fort et, dès lors, quels seront les intérêts du personnel politique, où se trouvera la voie de leur survie.
Ce sera une période bien troublée, certes, mais amusante en diable également…