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France: Les exploitations agricoles disparaissent à un rythme inquiétant, plus de 200 chaque semaine !!

Les exploitations agricoles disparaissent à un rythme inquiétant, plus de 200 chaque semaine. Elles ont beaucoup de mal à trouver un repreneur.

Un Agriculteur se suicide tous les deux jours en France ! France: Agriculteurs: vivre avec moins de 350 euros par mois

Source: francetvinfo

A l’attention des lecteurs du site BusinessBourse

Nous sommes à la veille d’un tournant majeur dans l’économie mondiale. Le moment est venu d’acheter de l’Or avant qu’il ne soit trop tard. Pour les très rares personnes qui ont des actifs à protéger, le moment est venu de sortir des bulles d’actifs(marché boursier, obligataire, immobilier, etc…), comme je le recommande depuis longtemps. Il est également temps de détenir de l’or et de l’argent physique comme assurance pour son patrimoine. Les métaux précieux atteindront des niveaux sans précédents, voire non envisageables aujourd’hui avec l’hyperinflation.

Pour ceux qui pensent avoir peu de moyens, rappelez-vous que vous pourriez acheter 1 gramme d’or par mois, ou plus, ce qui coûte aujourd’hui 37,68 €. Au fil du temps, cela vous permettra d’accumuler un important pécule. Pour des prix imbattables, sur devis.

               
Le retour au Standard Or d’Antal Fekete                            Dernière intervention de P.Herlin sur l’or
                      
         Nicolas Perrin: Investir sur le marché de l’or                                           Histoire de l’argent
               

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24 Commentaires pour l'article France: Les exploitations agricoles disparaissent à un rythme inquiétant, plus de 200 chaque semaine !!

  1. Et bien tant mieux les couillons des villes pourront crever de faim à la prochaine crise, bon débarras, qu’ils bouffent leurs vélibs.

  2. Esprit de contradiction / 3 mars 2019 à 19 h 19 min / Répondre

    Ne vous inquiétez pas, l’amour est dans le pré, donc ils vont faire beaucoup de petits paysans.

    • Esprit de contradiction / 4 mars 2019 à 8 h 22 min / Répondre

      Oui je pense que l’on devrait considèrer cela, comme des opérations de salut public.
      Disons qu’il s’agit d’une révolte des esclaves.

    • Sauf pur celui qui a une appli LAVIA sur son téléphone.
      Relié à la prise ᴏʙᴅ sous le volant, c’est encore mieux coyote vu que la vitesse est limité automatiquement il n’y a donc pas a y penser.

  3. ils ont a se bouger le cul avec les GJ

  4. Ils produisent quoi et pour quel qualité ?

  5. Le monde agricole étant l’ennemi du consommateur moins il y en aura mieux c’est (vouloir faire payer plus le consommateur pour gagner plus alors les marges des intermédiaires représent jusqu’à la moitié du produit frait même hors taxes).

    • Aaaaah !! on verra ton niveau de résilience si l’euro explose ( dévaluation de 20 à 40% du franc entre autres), moins d’imbéciles cela donne aussi un niveau d’orthographe plus élevé. Un paysan

      • Pourtant je suis loin d’être favorable au tout labelisé bio (où plutôt agrigulture raisonné comme on peut le voir avec le succès de votre syndicat majoritaire pour empêcher une réglementation plus stricte sur la culture hors saison sous serre).

        Je ne pense pas non plus que l’interdiction du glyphosate soit une bonne chose si c’est pour mettre plus d’intrants ou devoir se rabatre sur des molécules encore sous brevets. Et en usage non agricole la ꜱɴᴄꜰ fait comment pour désherber les voies ?

        Mais lorsque je vois la réaction par l’idée de réduire un tantinet la consomation de viande (ou comment refuser la restauration de la souveraineté alimentaire avec les importations nécessaires pour nourrir le bétail en lui même) pour passer en dessous de 130Kg par an (ce qui reste loin d’être végétarien) ou alors l’imitation de forme d’anciennes variété de légumes sans en reprendre la qualité en nombre de nutriment par Kg, le tout en conjuguaison de l’unanimité de la vision des professions je me suis résolu à un constat.

        Le premier recherche la diminution de la qualité afin de viser que la quantité là où le second se retrouve un peu à façe au mur lorsqu’il cherche le meilleur quand il arrive à trouver des tableau nutrionnels détaillés (produire de basse qualité n’est pas un problème ainsi j’achète le lait de Holstein naturellement dilué à 78¢ par litre soit 620€ les mille litres).
        Ceci est à bien sûr rajouter avec le désir évoqué précédement que ce soit les intermédiares qui touche le plus dans la chaîne de velur du produit.

        Après je ne sais pas ce que vous cultivez donc je ne fais pas encore de jugement sur votre cas.

        Mais pour le miens je ne suis pas payé en euros donc plus l’euro baisse mieux c’est pour moi (en ce sens les carburants ont beaucoup baissés via l’augmentation du salaire après conversion). En revanche je serais très embêté si je devais donner 20% en divers frais bancaires à cause de la restriction de la concurence du à un retour au franc en matière de paiement internatiaux (mon compte courant est en France mais la conversion est effecuté dans les pays de l’est).
        Sauf si je continu à réviser le WhyML actuellement, j’aurais alors une qualification très recherché à l’international qui rend facile l’optention de ᴠɪꜱᴀ permanents (je parle de ʙᴀᴄ+5 universitaires même si j’en suis loin) même pour l’Australie.

        • On s’en fou un peu de votre cas, le cas de la majorité compte davantage. Donc vivement le retour au franc 🙂

          • Je répondais juste à «  on verra ton niveau de résilience si l’euro explose »

            Quand au retour au Franc j’ai bien peur que si c’est un jour le cas on aura à nouveau de facto une zone Deutsche mark comme avec l’ᴇᴄᴜ.
            Une bonne partie des lois sur comment était régie la banque de France précede le projet de l’euro (le plus d’impacte étant la réduction à 0 de la dimension incitative du conseil national du crédit).
            Le meilleur example étant la polynésie Française : institut d’emission lié à la banque de France et ne fait pas partie de l’union européenne du tout (les taux sont presques aussi faible que ceux en euros).

        • Vous me parlez de niveau d’études, cela ne fait l’intelligence. Votre connaissance de l’agriculture est biblique et statistique. Les rendements en bio sont largement inférieurs au conventionnel et demandent un investissement humain important, les habitudes alimentaires ne changent pas en quelques années.La société de consommation à demandé toujours plus pour moins cher aux agriculteurs pendant les trente glorieuses et demande des comptes aux agriculteurs sur la qualité aujourd’hui, alors qu’on a poussé à la monoculture sur des surfaces plus grandes, avec des machines coûteuses qui les ont mis en esclavage et les poussent à l’abandon ou au suicide. Qui doit être montré du doigt les agriculteurs ou les consommateurs made in club Med ?

          Si l’on veut parler qualité produit allons plus loin que le rôle des agriculteurs parlons des obtenteurs qui ont rendu presque inexistante sur le marché les variétés population de kokopelli, biaugerme à des prix élevés en petite quantité. Parlons de la FNSEA qui représente plus la filière agro aval que les agriculteurs. Parlons des produits importés bio ou non bio avec un cahier des charges moindre (banane bio Equateur 14 pesticides chimiques autorisés).Parlons de l’urbanisation des campagnes avec les problèmes qui s’en suivent,ect,etc… Est-ce que vous savez comment on rétabli une terre ou le taux de cuivre est 20 fois supérieur aux valeurs et le nombre d’années qu’il faut pour cela?

          L’agriculteur est l’ennemi du coonsomateur, alors que ce dernier la mis en esclavage avec sa volonté de toujours plus pour moins cher (trop facile de se cacher derrière la grande distribution)est une phrase qui donne envie de tuer son geolier. Je suis apiculteur et je fais des produits de qualité et j » en ai eu marre des clients qui me disaient vous êtes trop cher alors que j’ai démarré à zéro, 5 ans en 2/8 en usine, 350 heures par mois (du sang et des larmes pour m’entendre dire vous êtes trop cher)tout acheté en fonds propre, tout appris et tout cela n’aurait pas de prix. J’ai augmenté mes tarifs de 30% et j’augmenterai cette année encore. Les gens veulent de la qualité, qu’ils paient le prix d’un travail à 80h/semaine et peu de vacances, ou alors qu’ils achètent de la merde.

          P.S. Un tournesol population upgrade en nutriments n’est pas mécanisable, l’on peut estimer le prix d’un litre d’huile à 7/8 euros, qui est prêt à payer le prix? mais il est vrai que peu de monde à vu un tournesol pop dans sa vie alors parler de déconstruction productiviste et recontruction alimentaire sa reste d’une simplicité sur le papier avec des chiffres.

          • « Vous me parlez de niveau d’études, cela ne fait l’intelligence. » Même si ça reste plus efficace que le QI, je n’ai prétendu le contraire. Encore une fois, c’est en réponse à on verra ton niveau de résilience si l’euro explose. Donc merci de lire les réponses précédentes.
            Et un détail : j’ai quelque chose en commun avec le monde agricole pour l’instant : aucun revenu fixe ; beaucoup de travail pour peu de résultats voir quelques chose comme 200Heures qui au final ne valent rien en cas d’échec (et en général moin que le ꜱᴍɪᴄ mensuel même si je fais 16H par jours ça n’augmente guère plus).

            Bien sûr que le bio n’a pas toujours de sens et en particulier pour les céréales. Je suis loin d’être absolutiste sur le sujet. Et encore moins sur l’augmentation de la taille des exploitation.
            Raison pour laquelle je me base surtout sur le tableau nutrionnel et les ingrédiants plutôt que le label (en ce sens totalement d’accord sur la bannane dollar).

            Quand au prix : un example : ça ne me dérangerais de payer le litre de lait de base 58¢ hors taxe (soit 69¢ TTC) soit 370€ les mille litres avec 35% de marges pour l’emballage et le transport. Soit un prix à la limite de la rentabilité même en étant bien moins élevé que des marques tels que c’est qui le patron.
            Le problème : il semble que ce qui fait la principale valeur du produit ne soit pas le temps passé dans la culture mais l’embalage et les intermédiares même si il n’a pas été du tout transformé au delà du changement de récipient.
            Donc un problème qui si il était résolu metterait tout le monde d’accord.
            Le souci : votre focalisation sur la manière dont doit être organisé la vente et par conséquant de vouloir répercuter plus sur le consomateur.
            Ah ! et un détail : le prix du label bio pour ce qui n’est pas importé de c’est juste 20 à 25% de plus l’agriculteur. Le reste c’est presque ×2 de groinfrage par les intermédiares.

            « parlons des obtenteurs qui ont rendu presque inexistante sur le marché les variétés population de kokopelli, biaugerme à des prix élevés en petite quantité. Parlons de la FNSEA qui représente plus la filière agro aval que les agriculteurs. »
            C’est gens là ce n’est pas au moins 80% des sufrages depuis des décénies ? Donc une dissociation plutôt hasardause
            Après je suis entièrement d’accord sur les vues de la confédération paysanne.

            • Ah ! Apiculteur !
              Raison pour laquelle j’avais écris : « Après je ne sais pas ce que vous cultivez donc je ne fais pas encore de jugement sur votre cas. »

              Je crois qu’exceptionnelement on va s’entendre.

              Dans ce cas le problème des prix est comme vous le savez en partie tout autres (voir page 5).
              J’ai justement une question à ce sujet : les exploitants individuel étant ceux qui représente la plus grande partie de la fraude en metant diluant directement le produit avec des sirop importés comment s’assurer au minimum de l’intégrité du produit sans ouvrir le pot ?

              Je veux bien payer le miel cher mais si même ça n’est pas la garantie de ne pas se faire plumer…

              Un problème qui n’existait pas au moment ou l’amiente des locomotives combiné à l’âge a emporté mon arrière grand-père.

            • Un seul nom Michaud 80% du commerce de gros avec des prix toujours plus bas demandés par les GMS, résultat une usine avec hyperfiltration (traduire miel chauffé)à la frontière avec l’Espagne qui produit 1 tonne pour 3 tonnes vendu (comprendre comment le miel hors europe devient du miel européen) avec des prix au kg par exemple colza 3,6 euros, conséquence les personnes qui vendent en gros sont laminés et nourrissent au glucose pour suivre les prix d’une part et répondre aux problématiques environnementales (40kg/ruche il y a 30 ans sur du tournesol, 15kg aujourd’hui c’est déjà bien). Comme d’habitude les Gms dictent leur lois et c’est suivre ou mourir. Personnellement, je nourris qu’avec mon miel de tournesol, je sors 20/25kg par ruche au lieu de 50kg en nourrissant avec du glucose ,ma démarche qualité m’a fait me tourner en circuit court (marchés) donc 30 heures/semaine pour la commercialisation, des frais de route (grande ville à 80 kms)et de plaçage. Je viens de passer agriculteur à titre principal, je monte un bâtiment pour 40000 euros (juste pour le moment sol, structure et toit) si j’écoute la MSA,je m’endette pour 120000 euros bâtiment complet augmentation du cheptel, la banque attend déjà au coin du bois et la boucle est bouclée, il faut que j’avance coûte que coûte, et le trio FNSEA, filière agro, GMS met le pognon dans la poche.

              Ce que vous dites n’est pas dénué de bon sens, mais il faut voir tout le processus qui nous a amené ou nous en sommes. Je suis un ancien chef de secteur Leclerc, petit fils de paysan, j’ai une vision de la filière alimentaire globale que n’ont pas tous les agrico pris dans le quotidien et les crédits. oui la FNSEA copine avec la filière aval et nous devrions bruler leur mandat, mais c’est la même chose avec les syndicats ouvriers d’où les GJ.

              Le problème est que les fermes qui mettent la clef sous la porte c’est du matériel qui part en Pologne et ailleurs, des terres agricoles qui sont récupérées par le secteur immobilier, mais surtout un savoir-faire ancestral qui disparaît et sera difficile à se réapproprier (10 ans pour acquérir une pratique apicole honnête perso) pareil en industriel cf Areva.

              Les agrico ne sont pas le problème, mais la solution, encore faut-il une volonté du consommateur et une mise au pas des GMS. Des produits de meilleure qualité plus chers, plus de main d’œuvre donc plus d’emplois, de consommateurs solvables, une richesse mieux répartie. Le problème est que nous n’en prenons pas le chemin avec la ferme de demain sans agriculteur, des satellites, des monocultures avec une baisse de la diversité alimentaire en corollaire, une montée des problèmes sanitaires dus à la concentration, etc…

              Voilà c’est long, mais sa résume une bonne partie de ma pensée. Nous sommes déflationistes, toujours plus de choses avec moins de qualité de vie, le mieux est l’ennemi du bien.

          • Ah ! Apiculteur !
            Raison pour laquelle j’avais écris : « Après je ne sais pas ce que vous cultivez donc je ne fais pas encore de jugement sur votre cas. »
            Je crois qu’exceptionnelement on va s’entendre.
            Dans ce cas le problème des prix est comme vous le savez en partie tout autres (voir page 5).
            J’ai justement une question à ce sujet : les exploitants individuel étant ceux qui représente la plus grande partie de la fraude en metant diluant directement le produit avec des sirop importés comment s’assurer au minimum de l’intégrité du produit sans ouvrir le pot ?
            Je veux bien payer le miel cher mais si même ça n’est pas la garantie de ne pas se faire plumer…
            Un problème qui n’existait pas au moment ou l’amiente des locomotives combiné à l’âge a emporté mon arrière grand-père.

      • Ah Oui. Par curiosité. Quel est votre site de vente en ligne ?

  6. La France, plus grand pays agricole d’Europe, incapable de faire face à ses besoins en cas de crise.

  7. ENORME !!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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