Ici, la seule chose qui doit vous guider, c'est votre esprit critique et la manière dont vous devez comprendre et vous servir de l'information. Voilà pourquoi l'aide et l'utilité de BusinessBourse, organe à 100% libre et indépendant. En savoir plus...
Le Venezuela aux abois financièrement émet un billet de 100 000 bolivars: les hausses des salaires ne suffisent plus

Le gouvernement vénézuélien hausse pour la 5ème fois cette année le salaire minimum. une revalorisation de 30% qui fait craindre de nouvelles hausses des prix alors que le pays est en proie à l’inflation la plus élevée au monde. Parallèlement à cette annonce, un billet de 100 000 bolivars a été mis en circulation.

Venezuela: pour s’acheter de la nourriture, les femmes vendent leurs cheveux ! Au Venezuela, on se croirait carrément dans Mad Max

7 Commentaires pour l'article Le Venezuela aux abois financièrement émet un billet de 100 000 bolivars: les hausses des salaires ne suffisent plus

  1. Or et argent. Vital !!!

  2. Tous les pays qui subissent ce genre de problèmes sont forcément attaqués par d’autres. Mais que l’on se rassure, l’Etat sait ce qu’il fait, et la remontée des prix du pétrole vont nettoyer totalement cette pression faite par tous les pays occidentaux, qui dès lors, vont devoir compter leurs pertes, pendant que d’autres seront occupés à compter leurs gains. Le Venezuela est producteur de pétrole, et compte se faire payer en Yuan et dans d’autres monnaies. Ils ne pourront plus s’attaquer comme ils le font à la livre bolivarienne, car ils vont aussi devoir payer leur pétrole plus cher…

    • Le pétrole remontera lorsque la croissance repartira.
      Cela ne se produira pas.

    • « L’état Vénézuélien sait ce qu’il fait ? ». Entre autres remarques…

      Le problème si je puis me permettre, c’est que vous n’émettez pas une vision objective de la situation, sinon du parti-pris à distance extrêmement contestable…

      Les estimations du prix du pétrole nécessaire pour viabiliser le système Chaviste : 200 dollars le baril !!! oui, vous avez bien lu. On en est encore loin, vous en conviendrez !

      Mais en attendant cette manne céleste qui nous tombera dessus très prochainement, le pays vit d’élections bidons, d’inflation galopante (La république de Weimar, c’était du Milton Friedman à côté de ce que l’on vit ici), de misère, d’abus de pouvoir, de clientélisme et de faillite sous-jacente (Restructuration de la dette pour ne pas dire défaut, vente des bijoux de famille aux Chinois et aux Russes etc…). Et surtout d’immigration de ses cerveaux et de sa jeunesse…
      On s’enfonce tous les jours chaque fois plus.

      Dédollarisation ? Pour être sincère, cela ne doit réjouir que les passionnés de géopolitique et les idéologues occidentaux acharnés (aux idées bien arrêtées), mais certainement pas les gens d’ici qui ont faim…

      Que je quitte le Venezuela avec ma famille n’est pas d’actualité immédiate, mais une grande possibilité à moyen terme… Car même si je ne suis pas le plus à plaindre, c’est très éprouvant la vie de tous les jours ici.

      Ya basta !!!

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*