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Paradise papers: Elisabeth II aurait plus de 11 millions d’euros dans des paradis fiscaux

C’est une plongée inédite dans les circuits opaques de l’optimisation fiscale. Une enquête de plus d’un an mené par un consortium international de journalistes. Les Paradise Papers, 13 millions et demi de documents provenant d’un cabinet d’avocats basé aux Bermudes nommé Appleby. Parmi les noms qui y figurent, la reine d’Angleterre Elizabeth II. 10 millions de livres sterling auraient ainsi été transférés aux Iles Caïmans et aux Bermudes.

Mais la liste ne s’arrête pas là…

B. Masse-Stamberger: les Panama papers sont une goutte d’eau dans l’océan de la fraude fiscale ! Jacques Sapir: Panama papers: le pire des mensonges est celui qui contient 90% de vérité…

Source: euronews

14 Commentaires pour l'article Paradise papers: Elisabeth II aurait plus de 11 millions d’euros dans des paradis fiscaux

  1. la vieille est encore vivante

  2. Elle l’emporte au Paradis ou c’est prince Charles qui hérite?

  3. C’est tout? Où est passé le reste ?

  4. Pour une fortune privée estimée de 400 millions, 10 millions est une goutte d’eau. L’accusation est aussi idiote que lui reprocher de ne pas payer d’impôts, alors que ses revenus sont des impôts.

    L’intérêt de ces sommes exilées n’est évidemment pas d’échapper à l’impôt mais de réaliser certaines opérations le plus discrètement possible. C’est un des leviers classiques de la diplomatie.

    • Quoique, rien ne l’obligeai à choisir des sociétés aussi controversé BrightHouse.

      • Toute société, comme n’importe quel groupe humain, est par définition controversé. Etre controversé ou faire l’objet d’une polémique plus ou moins artificielle n’est pas un défaut, c’est un état naturel conséquence de la liberté d’expression. Personne ne peut plaire à tout le monde et il y aura toujours des critiques et des juges autoproclamés, quoi qu’on fasse.

        Le tout est de savoir s’il faut adhérer aux thèses de ceux qui s’arrogent le droit de juger, ou au contraire s’il ne serait pas préférable de juger les prétendus juges qui, comme n’importe qui d’autre, ne sont pas des êtres parfaits.

        Le peu d’informations fracassantes venant des Paradise Papers montre bien qu’il n’y a pas grand chose de répréhensible dans cette « révélation ». Il n’est tout simplement pas illégal de placer son argent dans des paradis fiscaux qui, rappelons-le, perdraient leur raison d’être si les enfers fiscaux n’existaient pas. Eh oui, même les Etats rapaces sont soumis à concurrence. Même eux ne peuvent s’affranchir longtemps des lois du marché.

  5. Lumpenprolétariat / 6 novembre 2017 à 12 h 43 min / Répondre

    Wesh Wesh Mamie, fais péter le coffre Z’y va

    https://www.youtube.com/watch?v=aOPMBK0LN34

    Une vraie famille de caillera, sa mère grand dealer un peu d’opium en bas des tours en Chine

  6. Nous on nous persecute pour quelques euros et eux ils grugent des millions.

  7. Alors tu en penses quoi là ? Tu comprends maintenant que les plus pourris les plus profiteurs sont en haut et non en bas de l’echelle, tu comprends que ce sont eux les escrocs ?

  8. le début de l’iceberg. TOUT EST POURRI DANS CE MONDE DE MERDE; le peuple des moutons adorent se soumettre à l’ordre diabolique

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