Ici, la seule chose qui doit vous guider, c'est votre esprit critique et la manière dont vous devez comprendre et vous servir de l'information. Voilà pourquoi l'aide et l'utilité de BusinessBourse, organe à 100% libre et indépendant. En savoir plus...
Nicolas Chéron‏: Les marchés financiers abreuvés aux liquidités continuent leur course effrénée.

Nicolas Chéron: « Les marchés financiers abreuvés aux liquidités continuent leur course effrénée. Bémol, depuis 20 mois, aucune correction digne de ce nom.« 

USA: Malgré des discours qui voudraient être rassurants, la FED continue à imprimer en catimini. La BCE condamnée à faire tourner la planche à billets tant que l’explosion de l’euro sera perçue

Source: NCheron_bourse

15 Commentaires pour l'article Nicolas Chéron‏: Les marchés financiers abreuvés aux liquidités continuent leur course effrénée.

  1. Krach d’octobre 1987 = Future Krach avenir
    Je constate une grande similitude de comportement de la Fed avec ceux qui ont menés la Fed dans ces années-là.
    Le krach d’octobre 1987 s’est déroulé en deux temps : une remontée vive des taux d’intérêt à long terme qui culminera le 19 octobre 1987, jour où l’indice Dow Jones de la Bourse de New York, sous la pression de cette remontée des taux, perdit 22,6 %, ce qui constitue la seconde plus importante baisse jamais enregistrée en un jour sur un marché d’actions, devancée seulement par le krach de la bourse islandaise de 2008.
    Causes
    L’origine du krach est avant tout à chercher dans :
    • le doublement de l’endettement global depuis la fin des années 1970, endettement matérialisé par l’afflux énorme de liquidité. L’indice du Dow Jones triple en dix ans.
    • les importantes et brutales fluctuations du dollar au milieu des années 1980 dans le système de changes flottants (adopté depuis mars 1973) et entériné avec les accords de la Jamaïque (1976) ;
    • un mécanisme d’immunisation des portefeuilles, dit portfolio insurance en anglais, très en vogue à l’époque, destiné à réduire les risques mais que sa généralisation transforma en système vicieux ;
    • les systèmes automatiques d’achats et de ventes d’actions (program trading) relativement récents à l’époque, qui ont amplifié et accéléré le plongeon des cours. Après le krach, Wall Street se dote de coupe-circuits qui se déclenchent automatiquement au-delà d’une certaine baisse de l’indice Dow Jones.
    • 1987 : la remontée des taux d’intérêt

    Voir info sur : https://fr.wikipedia.org/wiki/Krach_d%27octobre_1987

  2. La vérité sort de la bouche des enfants, toute bonne chose a une fin !!!

  3. Sans vouloir t’offenser mon ami, oui cela c’est déjà produit de 1988 à 2000. Les marchés américains ont progressé pendant 12 ans. C’est la crise des techno qui on mis fin à toute cette progression et il s’en est suivi de 3 ans et demi par la suite de sommet négatif pour les américains.

    • La fed utilisait la planche a billet durant cette époque ?

      • Je sais que les taux d’intérêt pour les emprunts avaient grippé jusqu’au 24% pour un prêt hypothécaire. Je me souviens qu’ils avaient beaucoup de projet domiciliaire résidentiel, commercial qui ont du fermer leurs portes. Ça été une catastrophe terrible a voir les gens quitter leurs maison, car bon nombre d’entre eux ne pouvaient absorber cette hausse. À cette époque, il été très rare de voir la Fed se présenter, je ne suis même plus s’il se présentait ou moins une seule fois par année. Je ne me souviens plus, désolé mon ami.

    • Bien malin celui qui détient la réponse!

  4. Amusant.
    En effet, les banques centrales se retrouvent, au moins pour partie, sûrement large, acheteur par défaut.
    Ben moi j’appelle ça une nationalisation cachée.
    Et ça se passe aux U.S.A., je me marre.
    En fait, ce ne sera pas Wall Street qui s’écrasera en premier, la F.E.D. veille, ça risque même de ne se faire qu’en dernier, quand le dernier sorti éteindra la lumière.
    Mais à ce moment là le dollar ne vaudra plus rien, tout comme l’euro, le yen, le yuan, la livre sterling et tout un tas d’autres devises.
    Alors, quel sera le détonateur, un crash immobilier à Genève, Golman Sachs qui se déclare en faillite, une panne du W.E.B., un milliardaire qui se coince les doigts dans une porte, une crise de nerf de Macron…?
    Alors faites vos jeux, les paris sont ouverts!

    • Bonne analyse c’est un forme de nationalisation mais qui profite à qu’une petite minorité de financiers… les dividendes des actions ne sont pas reversés malheureusement par les banques centrales au budget de l’Etat… (un tout petit peu en Suisse avec la Bns mais c’est anecdotique…)
      Pour le cygne noir, je pencherai pour une guerre par exemple Iran vs Arabie, avec détroit d’Ormuz bloqué… choc pétrolier, devissage de toutes les bourses… Mais y’en a tellement d’autres possibles… Ou bien un affolement des taux d’intérêt sur les dettes d’état programmé par les banques centrales qui on le sait sont privées et qui provoqueraient sciemment une crise pour ensuite permettre à certaines entités de raffler le marché au plus bas et de le refaire grimper ensuite…

  5. Jusqu’à présent tout va bien !!!

  6. Jusqu’à présent tout va bien !!!

  7. Les algorithmes ont pris le pas !! On ne contrôle plus grand chose avec les banques centrales qui balance tt à foison (q. I)!retardé pour mieux sauter !

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*